Tout plaide pour un développement de l’électricité d’origine nucléaire dans le monde, naturellement en Europe et particulièrement en France.
Le nucléaire est à l’origine de 10% de la production mondiale d’électricité, de 26% au sein de l’Union européenne et de 70% en France. L’électronucléaire est une énergie pilotable, décarbonée pour l’essentiel, et dont le coût demeure compétitif.
Par ailleurs, nous vivons une ère exceptionnelle de mobilités des personnes et des biens, des services et des territoires. Ces mobilités feront passer, à échéance d’aujourd’hui à 2050, la part de l’électricité au sein du bouquet énergétique de 25% à 55%. Il faudra bien trouver des énergies propres pour faire face à la demande, parmi elles le nucléaire et les énergies renouvelables.
Seule ombre au tableau, la question des déchets nucléaires. Par ailleurs, les deux années de crise sanitaire et la guerre en Ukraine ont montré que la question d’une énergie propre et disponible incluant le nucléaire, préoccupait l’ensemble des citoyens.
Pour en débattre, Emile Malet reçoit :
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