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Ça vous regarde - Quel avenir pour le vaccin AstraZeneca ?

EMISSION
duration
1 heure
Diffusé le
16 mars 2021
«Nous sommes toujours fermement convaincus que les avantages du vaccin AstraZeneca dans la prévention du Covid-19, avec son risque associé d'hospitalisation et de décès, l'emportent sur le risque de ces effets secondaires», a déclaré la directrice de l'EMA (Agence européenne des médicaments) Emer Cooke lors d'une visioconférence ce mardi 16 mars. Du Danemark, à l'Allemagne puis en France, au total, seize pays européens ont pris la décision de suspendre provisoirement l'administration du vaccin AstraZeneca. Cette mesure, prise «par précaution», des cas de thromboses suspectes méritant des investigations complémentaires. Des décisions qui mettent à mal la stratégie vaccinale française et qui risquent d'abîmer un peu plus la confiance des populations dans la vaccination. Faut-il suspendre définitivement l'administration du vaccin suédo-britannique ? Cette décision de précaution n'est-elle pas plus politique que sanitaire ?

Invités :
- Nicolas Bouzou, économiste et essayiste, auteur du livre « Homo Sanitas »
- Bérangère Couillard, député LREM de Gironde
- Christian Bréchot, professeur de médecine et ancien directeur général de l'institut Pasteur (SKYPE)
- Richard Werly, correspondant à Paris du journal suisse le Temps

GRAND ENTRETIEN / Nicolas Bouzou : 10 000 ans de médecine : du bistouri en silex aux miracle de l'intelligence artificielle
Fil rouge : Nicolas Bouzou, économiste et essayiste, auteur du livre « Homo Sanitas »

Une fois n'est pas coutume, Nicolas Bouzou, avec son livre «Homo Sanitas», se veut positif. Il tente de réconcilier la société française avec le progrès. Selon l'économiste, la crise sanitaire permet d'accélérer l'innovation et le progrès. Il cite notamment, la technique du vaccin à l'ARN messager, qui pourrait être l'un des vaccins les plus sûrs de l'histoire.

LE DECRYPTAGE/ Loi contre le viol sur mineurs : une révolution ?

Les députés ont adopté à l'unanimité la proposition de loi renforçant la protection des mineurs face aux violences sexuelles, lundi 15 mars. Le texte doit désormais être entériné par les sénateurs. Il prévoit un nouveau seuil de non consentement, fixé à 15 ans et élargi à 18 ans en matière d'inceste. De plus, les députés ont approuvé un principe de «prescription glissante», permettant de prolonger un délai jusqu'à la date de prescription d'une nouvelle infraction. Néanmoins, la clause «Roméo et Juliette», qui exclut du champ d'application de cette loi les relations entre un mineur et un majeur dès lors qu'un écart d'âge de moins de 5 ans existe, ne fait pas consensus. Si, plusieurs députés, à l'instar d'Aurore Bergé, ont souhaité sa suppression, la rapporteure du texte Alexandra Louis et le ministre de la Justice Eric Dupont-Moretti sont formels : cette clause semble être la condition sine qua non de la proposition de loi. Ce texte est-il à la hauteur des attentes de la société ? Qu'en pensent les associations de victimes ?

Invités :
- Jean Terlier, député LREM du Tarn
- Martine Brousse, présidente de l'association La voix de l'enfant

Ça vous regarde, votre rendez-vous quotidien qui prend le pouls de la société : un débat, animé par Myriam Encaoua, en prise directe avec l'actualité politique, parlementaire, sociale ou économique.
Un carrefour d'opinions où ministres, députés, élus locaux, experts et personnalités de la société civile font entendre leur voix.

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