L'enfance et la jeunesse, au moins jusqu’à mai 68, ont souvent été oubliées des politiques publiques et des préoccupations des gouvernants. À l’heure où cette dernière se mobilise, pour le climat ou contre les violences policières, mais également se précarise, le personnel politique semble réaliser la nécessité de s’adresser à elle, conscient non seulement de l’urgence de faire évoluer ses droits, mais aussi, de la protéger davantage.